jeudi 25 septembre 2014

Personne n'appartient à personne

  Dans mon dernier article je vous ai parlé de ces voyages que la vie nous fait faire afin que nous puissions découvrir qui nous sommes vraiment.  Pour ceux qui n'auraient pas lu le texte de la semaine passée, il faut préciser que le mot voyage est ici utilisé de façon métaphorique.  Ils ne sont qu'en fait les expériences, ou un groupe d'expériences, qui nous permettent d'apprendre une leçon de vie et nous font ainsi avancer sur le chemin de notre destinée.

  Mon dernier voyage vient tout juste de ce terminer et je viens d'accoster sur cette terre qu'il me faut maintenant apprivoiser.  Quand je me retourne en arrière et que je jette un regard sur ma traversée je peux, approximativement, dire qu'elle a duré cinq ans.  Oh oui,  un long périple où j'ai entendu plusieurs discours, certains plus constructifs que d'autres, mais qui m'ont tous aidée à avancer.  Je peux dire que j'ai appris plusieurs choses durant ces cinq ans qui tournaient tous autour du même sujet : la relation et la communication avec autrui.  Mais, la principale leçon, celle qui m'a fait réaliser que j'étais arrivée à bon port, est que personne n'appartient à personne.

  Pour quelques uns cela peut paraitre étrange de penser qu'une personne puisse appartenir à une autre.  Quand on entend cela, la première idée qui nous vient en tête est le conjoint possessif qui ne veut pas laisser l'autre faire ses propres expériences.  Pourtant, je suis loin d'être à ce niveau.  Je suis même tout le contraire:  première chose que j'ai spécifiée à mon partenaire lorsque nous avons commencé à nous fréquenter sérieusement, est cette liberté d'agir à laquelle je tenais tellement.  Ce dont je parle plutôt, est plus large et plus inconscient.  C'est la façon dont on a tendance à penser que le monde tourne alentour de nous.  Je ne dis pas cela d'un point de vue narcissique mais, préférablement objectif.  Tous les gens voit le monde à partir de leur personne et c'est tout-à-fait normal.  Mais, je crois que l'on est venus sur cette terre pour justement apprendre à dissocier les autres de nous-même sans toutefois devenir leur adversaire.  Laissez-moi vous expliquer.  Que ce soit votre collègue, votre ami, votre père, ou même votre enfant chacun reste une personne à part entière.  Ce qui veut dire que, tout comme vous, il a ses propres expériences à faire pour arriver à cheminer dans sa propre vie.  Donc, cette personne, qui qu'il soit, est en droit de faire ses propres choix.  Alors, pour moi, ce dissocier d'une personne est aimer et respecter cette personne même si nous ne sommes pas d'accord avec ses choix de vie.  Bien sûr, lorsque l'on parle de nos enfants, c'est quelque peu différent.  Jusqu'à ce qu'ils soient assez vieux pour raisonner par eux-même, soit pour la plupart à la majorité, nous nous devons de les guider au meilleur de notre connaissance.  Mais, même avec eux, il faut garder l'esprit ouvert car, parfois il peuvent nous apprendre beaucoup.  La relation que l'on a avec nos enfants devrait être celle d'un partage l'un envers l'autre, elle ne devrait pas être à sens unique.  D'ailleurs, c'est à cela que toutes nos relations devraient ressembler.  Mais, pas toujours évident!  Surtout lorsque l'on parle des personnes qui sont proches de nous.  On veut tellement les voir heureux qu'on est prêt à bien des sacrifices pour eux...  malheureusement, leur bonheur ne repose que dans leurs bras.  C'est à eux de décider de leur destinée et d'agir selon leurs choix.

C'est comme quand on donne un conseil;  c'est à celui qui le reçoit d'en faire ce qu'il en veut.  Donner c'est donner, comme on dit si bien.  Notre conseil a beau être le meilleur au monde, il a eu beau fonctionner avec nous, cela ne veut pas dire qu'il fonctionnera avec les autres.  Car, même si la situation vécue est semblable à la nôtre, elle n'est jamais identique puisque l'acteur principal est différent.  De là, la circonstance ne peut qu'être ressentie autrement.  Alors, ne soyez pas fâché si un être cher ne prend pas vos conseils, dites vous plutôt qu'il a son chemin à suivre tout comme vous avez le vôtre.  Surtout, ne lui rappelez pas sans cesse son erreur si il n'a pas suivi ce que vous lui aviez conseillé et qu'il s'est "trompé", rappelez vous plutôt que ce n'est pas l'aider que de lui rappeler ses fautes.  Qu'est ce qui est plus important pour vous?  Que votre ami soit le mieux possible, ou que vous ayez raison?  Pensez à cela la prochaine fois que vous aurez le goût de répéter la fameuse phrase "Je te l'avais dis, hein?" à quelqu'un.  Osez aimer les autres pour ce qu'ils sont et non pour ce que vous aimeriez qu'ils soient.

  Voilà!  Je sais que ce n'est pas si évident d'intégrer ces différentes façons de penser dans notre vie.  J'en suis encore à les apprivoiser.  Notre société nous apprend qu'il faut s'occuper des autres sans nous dissocier d'eux.  Que lorsque nous ne pensons pas pareil à ceux que l'on aime, on est dans l'erreur et de là, la culpabilité nous ronge.  Pourtant, je crois que c'est tout le contraire ; s'affirmer en tant que personne tout en respectant l'autre est la plus belle preuve d'amour qui puisse exister, autant pour soi que pour l'autre.  C'est en faisant preuve de cet amour inconditionnel que j'ai expérimenté la sensation de la liberté pour la première fois.  Eh oui, accepter l'autre dans son entier sans vouloir le changer ne peut qu'amener un absolu laisser aller.
      

jeudi 18 septembre 2014

Le plus beau voyage de ma vie

  Je vous ai déjà dis que la vie est en éternel mouvement.  Que si on porte attention, nous pouvons en discerner les allées et venues et ainsi, voir les différentes leçons qu'elle nous enseigne.  Mais, pour cela, il nous faut être patient car pour l'Univers, qui est infini, une année est très peu.  D'ailleurs, le temps linéaire tel qu'on le connaît n'existe pas au delà de la vie terrestre.  Alors, il nous importe d'être attentif pour arriver à déceler les messages qui nous sont envoyés si l'on veut cheminer vers notre destin.  Habituellement, si on prend soin de bien écouter se qui vient de notre intérieur, nous progresserons pour atteindre notre prochain but.  Quand celui-ci sera accompli, nous saurons enfin que nous y sommes parvenus.

  Je viens justement d'accoster après un mes nombreux longs voyages.  J'ai dû traverser des tempêtes, reprendre mon souffle sur un nombre considérable d'iles, parfois ramer jusqu'à l'épuisement et changer de direction plusieurs fois pour enfin aboutir sur cette terre.  Cette terre qui, jusqu'à maintenant, m'était inconnue, sur laquelle je ne pensais jamais atterrir quand j'ai entrepris ce périple.  C'est, en outre, toujours de cette façon que mes péripéties se déroulent;  je pars à la conquête d'un certain rêve pour déboucher sur quelque chose d'insoupçonné, d'encore plus merveilleux que je l'avais imaginé.  Pour cela, j'ai dû affronter mes peurs et les abattre, j'ai dû résister à la tentation de laisser tomber et surtout, j'ai dû prendre mon temps.  J'ai pris le temps de reprendre mon souffle, pris le temps d'observer autour de moi et, plus particulièrement, j'ai pris le temps d'écouter mon intérieur.  Parce que, quand tu pars dans ce types d'aventures, la meilleure boussole se trouve au plus profond de toi, c'est ce que l'on peut appeler la voix de son âme.  Si tu prends le temps de bien connaître son fonctionnement, la voix de ton âme te mènera toujours à destination et plus te l'utiliseras, plus il te sera facile de la reconnaître.  Dans le fond, il suffit de s'arrêter et prendre le temps de s'écouter.  Au début, il y aura sûrement plusieurs voix qui essayeront de te distraire et de t'éloigner de celle de ton âme et ton intérieur te semblera plutôt chaotique, mais avec le temps tu réussira à faire le ménage jusqu'à ce qu'il ne reste que ta voix.  Plus tu lui fera confiance et plus elle se fera entendre et plus te lui fera de la place en te débarrassant de celles qui ne viennent pas de ton vrai moi, plus il te sera facile de rentrer en communication avec elle.  Moi, quand j'ai commencé cela pouvait me prendre plusieurs jours de méditation pour à peine l'entrevoir, maintenant, je n'ai qu'à y penser et je sens sa présence.  Alors, ma boussole est rendue bien huilée et ne me trompe jamais.  C'est comme le moteur de mon bateau, si il n'est pas fonctionnel, je coule!  Bien sûr, il y a eu des arrêts pour arranger parfois mon mât, parfois mon gouvernail, mais j'ai toujours repris la route.  Et plus j'avançais, plus je sentais le vent dans mes voiles.  Je savais qu'il me dirigeait où je devais aller, je savais qu'il m'amènerait à bon port.  C'est ce qui arriva car, lorsque tu pars en voyage, ta collaboration avec l'Univers est essentiel.  Tu dois faire confiance à ce qui t'entoure, ouvrir tes yeux et ressentir les énergies qui te sont envoyées.  Quand je dis ouvrir les yeux je parle autant de ceux du corps que ceux du coeur.  Parce que c'est souvent par le coeur  que l'Univers passera ses messages;  quand tu ne sais plus trop où tu en est, prends le temps de regarder comment tu te sens émotionnellement et tu saura où tu es rendu.  Le coeur ne ment jamais et si on est prêt à l'écouter avec sincérité il peut devenir notre meilleur conseiller.  Souvent il m'est arrivé de ne pas savoir de quel côté tourner et à chaque fois que je me suis tournée vers mon coeur, tel un GPS parfait, ( est ce que ça existe?!?! ) il ne m'a jamais trompée.  Enfin, je sais que c'est dans ce voyage que j'ai affronter mes plus grandes peurs, parfois elles étaient tellement imposantes que je me sentais submergée, elles me dominaient tel un tsunami, et j'ai bien des fois failli me noyer.  Mais, je me rappelle qu'à toutes les fois quelqu'un est venu me secourir.  Parce que je me suis mise à croire en lui et par le fait même en moi, l'Univers ne m'a jamais laissée tomber.     

  Finalement, je me rends compte en vous racontant cela que le plus beau voyage de ma vie est ma vie en elle-même!  Je sais qu'en réalité c'est l'ensemble de tout ces voyages, certains plus petits, d'autres plus prodigieux qui font la beauté de mon moment présent.  Parce que même si les grands laissent de merveilleux souvenirs, c'est souvent grâce aux plus petits que j'ai pu arriver à achever les plus grands.
   
 

jeudi 11 septembre 2014

Le racquetball


   Voilà maintenant quelque mois, j'ai fait la découverte d'un nouveau sport;  le racquetball.  Ce sport que j'avais vu, étant plus jeune, à mon centre d'entrainement m'avais intrigué dès la première fois où j'avais vu ces joueurs courir après une balle dans une pièce pas vraiment plus grande que ma chambre à coucher.  Munis de raquettes, ils frappaient la balle, à tour de rôle, qui allait percuter le mur pour leur revenir à la vitesse de l'éclair.  Et quand je dis à la vitesse de l'éclair, c'est à peine si j'exagère!  C'est d'ailleurs pour cette raison que des lunettes de sécurité étaient obligatoires.  Wow!  Que ce devait être excitant de s'adonner à ce sport qui était casse-cou au point qu'il te faut porter de lunettes pour assurer ta sécurité!  Mais, ce ne fût que des années plus tard, quand ma belle-soeur m'a demandé si j'ai voulais venir avec elle expérimenter ce fameux sport où tu cours partout pour tenter de taper une balle qui vient de tous les sens à une vitesse assez vertigineuse, que j'ai enfin eu la chance de l'essayer.

  Il faut tout de suite vous aviser que ma partenaire étant aussi novice que moi, nous n'appliquons pas toutes les règles de ce jeu qui est, en fait, assez compliqué.  Nous nous amusons plutôt à nous relancer la balle et un échange qui dure plus qu'une minute est une grande victoire pour nous.  Pour ma part, je me suis aperçue que ma psychomotricité visuo-manuelle n'était pas aussi développée que je pensais!  Disons que j'ai beaucoup de difficulté à évaluer quand la balle va arriver à la hauteur parfaite à laquelle je dois la frapper.  Ce qui ne donne pas toujours les résultats escomptés...  mais, que de plaisir nous avons à nous regarder aller, ressemblant souvent à des chats chassant une balle dans tous les coins de la pièce!  Un autre grand avantage à notre activité c'est qu'après une heure d'échanges plus ou moins réussis, nous sommes trempées.  Il faut dire que courir dans une pièce ne faisant que 12,20m par 6,10m et où l'aération est quasi inexistante, peut être très bénéfique en ce qui à trait à la dépense calorique.  En plus, après une dizaines de rencontre, je vois tranquillement mes performances psychomotrices s'améliorer;  je manque de moins en moins la balle et nos échanges sont de plus en plus longs.  J'adore ce sport qui me fait développer de nouvelles aptitudes et ma belle-soeur l'aime encore plus.  C'est pourquoi nous n'arrivons pas à nous expliquer pourquoi, au Québec, il est en déclin depuis le milieu des années 90.  Pour cette raison, j'ai décidé de vous expliquer les grandes lignes de ce sport qui gagne à être connu.

  Le racquetball à été inventé au États-Unis en 1949 par un joueur de tennis et de squash et qui décida de combiner les deux, nommé Joe Sobek.  Comme au squash, il se pratique en terrain fermé, mais il ne comporte pas de filet imaginaire au mur et la balle peut le frapper aussi bas que l'on veut, à condition de ne pas faire de bond avant de frapper ce dit mur.  La raquette utilisée est un mélange de celles des deux sports soit, allongée comme celle du squash, mais grande comme celle du tennis.  La balle, en contrepartie, est composée d'un espèce de caoutchouc et est de celle des trois qui rebondie le plus. Ressemblant beaucoup aux règles du tennis, le but du jeu est de réussir à empêcher son adversaire de frapper la balle après le premier rebond pour marquer un point.  Il faut néanmoins détenir le service pour l'obtention de ce point et si c'est notre adversaire qui détient le service, celui-ci nous reviendra et nous pourrons alors tenter de marquer.  Pour remporter le match il faut deux sets gagnants.  Les deux premiers sets étant de 15 point et si il y a égalité, un troisième set de 11 points sera disputé pour déterminer le vainqueur.  Différentes zones existent dont celle du service et celle de la réception du service et comme au tennis, le jeu peut se jouer soit à deux joueurs, soit à quatre.

  Somme toute, ce sport m'apporte beaucoup de bénéfices physiques ainsi que mentaux.  Mais, celui que de loin,  je préfère est la belle relation que je développe avec ma belle-soeur.  Il faut dire que passer une heure par semaine à courir après une balle dans une pièce à peine plus grande que son salon ne peut que favoriser les rapprochements! 

jeudi 4 septembre 2014

La visualisation créatrice

  Cette semaine je vais vous parler d'une technique fort efficace quand vient le temps de réaliser des projets qui nous tiennent à coeur.  Je l'utilise fréquemment et en retire à chaque fois une grande satisfaction.  La visualisation créatrice est mon outil de prédilection quand vient le temps de mettre en oeuvre mes voeux les plus chers.  Encore faut-il respecter certaines règles qui sont communes à tout ce qui à trait à cette énergie qui fait de nous qu'un seul être.

  Eh oui, cela peut vous paraitre bizarre, mais je crois sincèrement que nous sommes tous reliés par de l'énergie qui circule à travers nous et que l'on échange avec les autres.  Cette énergie à tendance à rechercher ce qui nous ressemble et c'est pourquoi nous nous retrouvons souvent avec des gens ou dans des situations similaires tant que nous ne décidons pas de changer cette dite énergie.  C'est, en quelque sorte, la fameuse pensée "soit positif et des événements positifs surviendra dans ta vie".  Parce que, quand on y réfléchit bien, chacune de nos pensées est, en fait, de la visualisation.  Nous visualisons chaque fois que nos rêvons éveillé, que nous élaborons un projet, que nous créons des idées de décoration pour notre maison, que nous dessinons ou peignons, que nous planifions nos vacances.  Chaque fois que nous pensons à quelque chose et que l'on voit sa réalisation, nous faisons de la visualisation.  Donc, chacun de nous est capable d'en faire, quelque soit la grandeur du projet.  Je vous entends déjà protester:  " Moi, mes rêves ne se réalisent jamais, même si j'y pense à tous les jours.  " Pourquoi mon rêve de gagner le gros lot ne s'est jamais réalisé alors? "  À ceci je vous réponds une seule chose:  les règles n'ont pas été suivies.

  La visualisation créatrice est l'art de visualiser mentalement une situation désirée, de la chargée d'énergie personnelle et de la libérer dans le cosmos pour qu'elle grandisse et se manifeste dans le monde physique.  Cela peut sembler simple et ce l'est, si nous respectons les règles de ce dit cosmos dans lequel nous libérons nos pensées.  Première et, de loin, la plus importante règle est d'y croire.  Je peux vous dire que, personnellement, lorsque je me suis mise à y croire, croire que l'univers était là pour moi, croire que j'étais assez bonne pour recevoir ce que je désirais le plus, le vent à changé pour moi.  Alors, croyez-y!  Deuxièmement, dites vous que l'univers sera plus enclin à vous envoyer quelque chose que vous avez réellement besoin.  Il ne vous fera peut-être pas gagner le gros lot, mais vous enverra l'argent nécessaire pour payer votre loyer du prochain mois.  Troisièmement, une autre règle à laquelle le cosmos ne déroge jamais:  vos voeux ne doivent, d'aucune façon, léser autrui.  Si ce que vous désirez peut apporter du malheur à un autre être vivant, soyez sûr qu'il ne vous sera pas accordé.  Dernière règle, et non la moindre, il faut planifier des actions physiques afin de soutenir notre visualisation.  Par exemple, si vous visualiser une guérison, il vous faudra aller voir un médecin et prendre soin de vous de manière à prendre part au processus autant au niveau physique qu'au niveau mental.  

  Bon, maintenant que vous savez les règles à suivre pour la réussite de votre visualisation, regardons ensemble comment la réaliser.  Beaucoup de personne rendent le processus plus difficile qu'il ne l'est en réalité.  Il n'est pas besoin d'avoir des capacités spéciales pour y arriver;  comme je le dis plus haut, on le fait à chaque fois que nous mettons nos projets à terme car, la visualisation est, en fait, de l'imagerie mentale.  Ce qui la rend créatrice, c'est le degré d'émotion que l'on décide d'y mettre.  En gros, ce que cela signifie, est comment êtes vous prêt à travailler pour arriver à atteindre ce que vous désirez, comment votre projet vous tient à coeur.  Une fois que vous avez choisi sur quoi vous voulez portez votre visualisation, il vous suffit de vous rendre dans un endroit calme, de fermer le yeux et de visualiser la situation comme si vous étiez en train de la vivre.  La visualisation doit toujours être faite au moment présent.  Les images n'ont pas besoin d'être compliquées, ni même en trois dimensions.  En fait, pour ceux qui sont plus auditifs que visuels, les images peuvent être transposées en sons.  Dans le fond, ce qui importe le plus, est le degré d'émotion que vous y mettez.  Il m'est déjà arrivé de pleurer lors d'une de mes visualisation tellement sa réalisation m'était chère.  Puis, laissez la partir dans l'astral sans penser à comment ni à quel moment elle se réalisera.  Faites confiance à l'univers, il sait quand sa réalisation vous sera le plus bénéfique.  Souvent il m'est arrivé de réaliser, à mon grand étonnement, un an, même deux ans après qu'une de mes visualisation se réalisait.  Jamais dans l'ordre que je l'avais imaginer, mais qu'elle était effectivement devenue réalité.  Alors, soyez patient.  Dites vous que le temps, tel qu'on le connait ici-bas, n'existe pas dans l'autre monde.

  Voilà, ce que je viens de partager avec vous est très important pour moi car, cela a été le début d'une nouvelle vie pour moi.  Une vie où tout est possible lorsque l'on croit en nous et en tout ce qui nous entoure.  J'espère sincèrement vous avoir influencé à prendre la voie de la visualisation créatrice parce qu'elle peut vraiment vous aider à devenir ce que vous avez toujours voulu être.  Je vous souhaite, grâce à ce moyen, de trouver votre voie et d'y progresser avec bonheur et sérénité.